[PROMOTION INTERNE] Publication au journal officiel du décret 2023-1272 du 26 décembre 2023 modifiant les dispositions statutaires relatives à la promotion interne dans la FPT

Le 03/01/2024

Les actions menées et portées par le CDG 13 devant le ministre Stanislas GUERINI afin d'assouplir et faciliter l'accès à la Promotion interne dans la FPT ont porté leurs fruits.

Le décret 2023-1272 du 26 décembre 2023 fait notamment suite à la rencontre du 20 juin 2023 du Président Georges CRISTIANI et des élus du Conseil d'Administration du CDG 13,  Olivier GUIROU et  Jean-Baptiste SAGLIETTI, avec Stanislas GUERINI, ministre de la Transformation et de la Fonction Publique.

L'inscription sur la liste d'aptitude au titre de la promotion interne des agents des collectivités territoriales est soumise à des quotas. Le décret n° 2023- 1272 du 26 décembre 2023 assouplit le mécanisme de contingentement afin de faciliter l'accès à la promotion interne des fonctionnaires.
A ce titre :

     

  • Il réduit le nombre de recrutements externes de fonctionnaires, prévus par les statuts particuliers, permettant d'ouvrir une inscription sur la liste d'aptitude au titre de la promotion interne. Ce quota qui était d'une nomination pour trois recrutements sera, à la date d'entrée en vigueur du décret d'une nomination pour deux recrutements.
  •  

  • Il modifie également les dispositions permettant la nomination au titre de la « clause de sauvegarde » en permettant d'appliquer ce nouveau quota à 8 % de l'effectif du cadre d'emploi considéré contre 5 % auparavant. 
    Doivent désormais être pris en compte dans le calcul des 8% de l'effectif du cadre d'emploi considéré comme les fonctionnaires en position d'activité ou de détachement mais également les agents contractuels en contrat à durée indéterminée.
  •  

  • Il réduit enfin de quatre à deux ans la durée permettant de prononcer une nomination au titre de la promotion interne en l'absence d'un nombre de recrutement suffisant permettant d'ouvrir le droit à une nomination au titre de la promotion interne.
  •  

Le décret procède également à l'actualisation de certains décrets afin de tenir compte de l'entrée en vigueur du code général de la fonction publique.

Ces dispositions entrent en vigueur dès le 1er janvier 2024.

 

[INFO CARRIERES] Mise à jour des carrières des agents et des directeurs de police municipale

Le 21/12/2023

Dans l’attente d’une modernisation de leur régime indemnitaire, dont les travaux semblent toujours en cours, deux décrets du 21 novembre 2023 relatifs à la filière police municipale ont été publié afin de revaloriser les agents de catégorie C et de catégorie A.

Décret n° 2023-1069 du 21 novembre 2023 relatif à la carrière des agents et des directeurs de police municipale et des agents et des directeurs de police municipale de Paris

>> Ce décret revalorise la carrière des agents relevant de la catégorie C en transformant l'échelon spécial en échelon de droit commun et celle des membres de la catégorie A en alignant la carrière des deux grades du cadre d'emplois et du corps des directeurs de police municipale sur les deux premiers grades du « A-type ».

 

Décret n° 2023-1070 du 21 novembre 2023 modifiant les dispositions indiciaires applicables à certains cadres d'emplois de la police municipale

>> Ce décret modifie l'échelonnement indiciaire applicable aux brigadiers-chefs principaux, aux chefs de police municipale et aux directeurs et directeurs principaux de police municipale.

 

>> Retrouver les grilles indiciaires de la filière police municipale mises à jour

 

 

[La QVCT à portée de tous] Retour sur la rencontre du 1er décembre du service Prévention du CDG avec les collectivités

Le 08/12/2023

Face à la perte d’attractivité, la désinsertion professionnelle et l’absentéisme récurrent dans les services publics, la QVCT représente une opportunité indéniable pour les collectivités de faire évoluer leurs organisations et poursuivre les évolutions nécessaires du service public en s’engageant dans une politique globale, structurée et participative visant à la fois les conditions de travail, la performance du service public et les conditions de vie de tous au sens large.

Le 1er décembre, à l’occasion de la rencontre “La QVCT à la portée de tous”, le service Prévention et Sécurité au Travail du CDG13 a réuni les collectivités du département autour de :

  • Trois témoignages inspirant sur l’organisation d’une semaine QVCT et l’articulation avec la politique définie par la collectivité,
  • La restitution de travaux conduits depuis une année avec des managers sur le parcours agent en collectivité, 1er pilier de la QVCT, avec la conception d’un kit accueil du nouvel agent,
  • Un retour sur l’actualité relative à la mise à disposition de nouveaux référentiels et guide pratique en lien avec les grands axes du Plan Santé Fonction Publique 2022/2025.

En attendant de nouveaux temps forts en 2024, le CDG13 vous communique :

Le support d’animation de la rencontre santé du 1er décembre 

> L’affiche synthétique "Espaces de discussion sur le travail" 

> Le kit accueil nouvel agent 

[Réforme des retraites] Les nouvelles mesures

Le 24/11/2023

Report de l’âge légal, durée de cotisations, décote, catégorie active... Pendant plusieurs mois, et comme à chaque projet de réforme du système de retraite, ces mots agitent le débat public jusqu’à la publication du texte final.

Cette fois-ci, le suspens a pris fin au printemps avec la publication de la loi n° 2023-270 du 14 avril 2023 de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023, contenant les mesures de la réforme, validées par le Conseil Constitutionnel (à l’exception de quelques mesures considérées comme cavaliers sociaux).

Les premiers décrets d’application ont suivi début juin, pour une réforme entrée en vigueur le 1er septembre dernier.

Passée cette période d’incertitude, quelles sont donc les conséquences de cette réforme pour les fonctionnaires territoriaux ?

Tour d’horizon des principales mesures

è Les plus emblématiques : les relèvements progressifs de l’âge légal de départ à la retraite et de la durée d’assurance.

L'âge légal de départ à la retraite - ou l’âge minimum autorisé pour un agent - est progressivement repoussé entre 2023 et 2028 pour l’ensemble des agents.

Ce report vise à inciter les agents à travailler plus longtemps et à aligner les règles du secteur public sur celles du secteur privé.

 

La catégorie « sédentaire » concernant la majorité des effectifs territoriaux

Les agents nés entre le 1er septembre 1961 et le 31 décembre 1967 verront leur âge légal augmenter de 3 mois par an (selon leur date de naissance) pour atteindre progressivement 64 ans, comme ceux nés à partir de 1968. Les agents nés avant le 1er septembre 1961 restent sous les anciennes conditions (62 ans).

Les catégories « active » et « super active »

Il en va de même pour les agents appartenant à ces catégories qui voient l’âge légal de départ relevé respectivement à 59 ans (contre 57 ans) et 54 ans (contre 52 ans), là encore progressivement. À noter toutefois que pour la catégorie « active », la durée de service exigée reste inchangée (17 ans). 

Pour ces trois catégories, outre la limite d’âge, la durée totale d’assurance va augmenter plus rapidement que prévu initialement par la précédente réforme, pour atteindre 172 trimestres (43 ans).  Il s’agit du nombre de trimestres cotisés ou validés nécessaires pour bénéficier d'une pension à taux plein, c'est-à-dire sans décote.

 

 

Catégorie Sédentaire

Catégorie Active

Catégorie Super Active

Dispositions inchangées pour

Les agents nés avant le 1er septembre 1961

Les agents nés avant le 1er septembre 1966

Les agents nés avant le 1er septembre 1971

Relèvement de l’âge légal de départ

§  Progressif entre le 1er septembre 1961 et le 31/12/1967.

§  64 ans à partir de l’année 1968

§  Progressif entre le 1er septembre 1966 et le 31/12/1972.

§  59 ans à partir de l’année 1973

§  Progressif entre le 1er septembre 1971 et le 31/12/1977.

§  54 ans à partir de l’année 1978

Relèvement de la durée totale d’assurance pour

§  Progressif entre le 1er septembre 1961 et le 31/12/1964.

§  172 trimestres à partir de l’année 1965

§  Progressif entre le 1er septembre 1966 et le 31/12/1969.

§  172 trimestres à partir de l’année 1970

§  Progressif entre le 1er septembre 1971 et le 31/12/1974.

§  172 trimestres à partir de l’année 1975

 

La catégorie « super active », kézako ?
Non, il ne s’agit pas du prochain blockbuster de l’écurie Marvel, ou des prochains acolytes de Batman et Superman. Sous cette nouvelle dénomination se retrouvent les agents de la catégorie dite « insalubre ». Si le nom change, les conditions restent quant à elles identiques.

 

Et l’âge limite de départ ?
Il convient bien de faire la différence entre l’âge légal de départ (= âge à partir duquel l’agent peut commencer à partir), de l’âge limite de départ (= âge au-delà duquel l’agent ne peut rester, sauf exceptions).

Si la réforme repousse l’âge légal de départ, elle ne touche en rien à l’âge limite qui demeure à 67 ans pour la catégorie sédentaire (et 62 ans pour les catégories actives et super actives).

 

è La prise en compte des carrières longues

Le dispositif "carrières longues" permet aux agents qui ont commencé à travailler très jeunes et cotisé suffisamment de trimestres, de partir à la retraite avant l'âge légal. La loi modifie les conditions d'accès à ce dispositif, en tenant compte du report de l'âge légal, mais également en élargissant ce dispositif. Il vise ainsi à reconnaître la pénibilité des carrières longues et à préserver le droit au départ anticipé des agents concernés, même si ceux-ci constituent un nombre limité d'agents (plusieurs conditions cumulatives étant à remplir).

Ainsi, la loi introduit deux nouvelles possibilités supplémentaires de départ :

-        pour les agents ayant eu un début d’activité avant 18 ans : départ possible à partir de 60 ans,

-        pour les agents ayant eu un début d’activité avant 21 ans : départ possible à partir de 63 ans.

Elle élargit également le périmètre des trimestres pris en compte en durée d’assurance cotisée.

 

è L’introduction d’une nouvelle possibilité pour l’ensemble des agents : le maintien en fonctions

Déjà existant pour certains agents occupant des emplois fonctionnels de direction, ce dispositif permettant de rester en fonctions au-delà de la limite d’âge légal se trouve aujourd’hui étendu à tous les agents de la catégorie sédentaire. Octroyé sur autorisation (son refus devant être motivé), ce dispositif facultatif est ouvert aux fonctionnaires bénéficiant d’une limite d’âge supérieure ou égale à 67 ans, dans la limite des 70 ans de l’agent.

Ce nouveau dispositif est cumulable avec ceux de reculs de la limite d’âge à titre personnel et de la prolongation d’activité pour carrière incomplète.

Durant cette période de maintien en fonctions, l’agent n’est pas radié des cadres, il verra l’intégralité des trimestres travaillés pris en compte pour sa retraite, et sa carrière continuera d’évoluer (avancement d’échelon notamment) pour avoir une incidence sur le calcul de sa pension.

 

è Celle qui semble la plus attendue : le retour d’un mécanisme de départ progressif

Il y a quelques années disparaissait la cessation progressive d’activité (CPA). Aujourd’hui, la loi introduit un nouveau dispositif pour lequel la filiation semble toute trouvée : la retraite progressive. Si le nom change, son contenu l’est également.

Ce dispositif permet donc à un agent de diminuer sa quotité de travail en exerçant son activité à temps partiel tout en cumulant une partie de sa pension. Son objectif est de favoriser une transition progressive entre l'activité et la retraite, en leur offrant la possibilité d'aménager leur fin de carrière selon leurs besoins et leurs envies ; mais également en leur permettant de bénéficier d'une pension de retraite dès l'âge légal, tout en continuant à cotiser pour améliorer le montant de leur pension définitive.

Pour y être éligible, l’agent doit être à deux ans au moins de son âge légal de départ, de disposer d’un minimum de durée d’assurance (150 trimestres) et de bénéficier d'une autorisation de temps partiel mentionnée à l'article L. 612-1 du code général de la fonction publique (ou occuper un poste à temps non complet sous certaines conditions).

La pension de retraite est alors calculée au prorata du temps de travail effectué : le cumul entre la pension et la rémunération est lui plafonné à 100 % du dernier traitement indiciaire brut perçu par l'agent.


Et les autres mesures restant à venir ?

Certaines dispositions prévues par la loi n’ont pas encore vu leurs décrets d’application publiés à ce jour, et restent donc en suspens. Parmi celles-ci, il est notamment possible de noter de prochaines règles relatives à la majoration pour enfants ; au minimum garanti ; aux situations des Sapeurs-pompiers volontaires ; à l’Allocation Solidarité Personnes Âgées (ASPA) ou encore à l’augmentation du taux de contribution de la CNRACL.

 

Pour en savoir + : cdg13.com / page du relais CNRACL (service retraite du CDG 13 pour les collectivités et établissement affiliés), ou sur le site de la CNRACL : www.cnracl.retraites.fr

Info Bonus : Un document de présentation d’une réunion du 23 juin 2023 est disponible sous ce lien.

 

Besoin d’y voir plus clair sur votre situation de futur retraité ?
Vous pouvez (sous conditions*) solliciter un Accompagnement Personnalisé Retraite (A.P.R) : rendez-vous tripartite entre vous, vos ressources humaines et le Relais CNRACL du CDG 13. C’est l’occasion d’effectuer des simulations ou de poser toutes vos questions afin de repartir avec une aide à la prise de décision.

*avoir au minimum 2 ans de services effectifs, être affilié à la CNRACL (minimum du 28h hebdomadaires), être à 2 ans de l’âge légal du départ à la retraite et disposer d’un dossier de qualification de compte individuel retraite (dit « QCIR ») verrouillé.

 

Toutes les informations sont accessibles ici .

 

[JURISPRUDENCE] Procédure d'abandon de poste

Le 10/11/2023

Tout d’abord, s’agissant d’un fonctionnaire, dans un arrêt n° 464419 du 11 octobre 2023, mentionné aux tables du recueil Lebon, le Conseil d’Etat rappelle qu’une procédure d’abandon de poste ne peut être régulièrement prononcée que si l’agent été mis en demeure de reprendre ses fonctions, supposant donc qu’il ait bien été affecté au préalable sur un emploi correspondant à son grade : 

« D'autre part, sous réserve de dispositions statutaires particulières, tout fonctionnaire en activité tient de son statut le droit de recevoir, dans un délai raisonnable, une affectation correspondant à son grade. Lorsqu'un agent n'a pas reçu une affectation correspondant à son grade, il ne peut être regardé comme ayant, faute d'avoir rejoint son poste ou repris son service, rompu de son fait le lien avec le service et ne peut dès lors faire l'objet d'une mesure de radiation des cadres pour abandon de poste ».

Puis s’agissant d’un agent contractuel, la haute juridiction, dans un arrêt n° 461537 du 3 novembre 2023, a précisé que le refus de signer une modification de son contrat ne pouvait constituer un motif d’abandon de poste, mais pouvant en revanche conduire le cas échéant à une procédure de licenciement dans les conditions du décret n° 88-145 du 15 février 1988 :

« Tel ne saurait cependant être le cas lorsqu'un agent contractuel, dont la situation est régie par les stipulations de son contrat, d'une part, refuse, avant l'expiration de ce contrat, de signer un nouveau contrat prévoyant une autre affectation ou d'accepter un changement d'affectation s'apparentant à la modification d'un élément substantiel de son contrat en cours, et, d'autre part, ne rejoint pas cette nouvelle affectation, une telle circonstance autorisant le cas échéant l'engagement à son encontre d'une procédure de licenciement, dans les conditions prévues par les articles 39-3 et 39-4 du décret du 15 février 1988 relatif aux agents contractuels de la fonction publique territoriale, mais non l'engagement d'une procédure de radiation des effectifs pour abandon de poste. »

La cour des comptes dresse un bilan d’étape de la mise en œuvre de la loi transformation de la Fonction publique de 2019

Le 10/11/2023

Trois ans après la promulgation de la loi du 6 août 2019 de transformation de la fonction publique (LTFP), la Cour et les chambres régionales et territoriales des comptes (CRTC) ont dressé un premier bilan de la mise en œuvre de ses principales mesures, à l’exception de celles relatives à la promotion du dialogue social et à l’égalité professionnelle qui feront l’objet d’une enquête ultérieure. Celui-ci a été présenté le 8 novembre au sein un rapport intitulé « Loi de transformation de la fonction publique : Bilan d’étape », dont une synthèse est disponible.

Outre le bilan, celui-ci fait état de 8 recommandations formulées par la Cour de Comptes au regard des premiers constats effectués, portant notamment sur le temps de travail ou la rupture conventionnelle par exemple.

Retrouvez ici le rapport de la Cour des comptes dans son intégralité. Vous pouvez également consulter les réponses de certaines administrations et d’organismes concernés, sollicités sur cette problématique par la Cour des Comptes dans le cadre de ses travaux.

Examen professionnel de professeur d'enseignement artistique par voie de promotion interne, spécialité Musique, discipline Violon

Le 26/03/2024

L'épreuve orale d'admission à l'examen professionnel de Professeur d'enseignement artistique par voie de promotion interne, dans la spécialité Musique, discipline Violon,  se déroulera du lundi 8 au vendredi 12 avril 2024, au Centre de gestion des Bouches-du-Rhône, à Aix-en-Provence.

Les convocations ont été déposées dans l'espace sécurisé des candidats admissibles le 22 mars 2024.

[EPREUVES D'ADMISSION] Concours d'ETAPS et ETAPS principal de 2ème classe, session 2024

Le 26/03/2024

Pour rappel, les épreuves sportives des concours d'ETAPS et d'ETAPS principal de 2ème classe se dérouleront le mardi 16 avril 2024 aux lieux suivants :

  • Parcours de natation de 50m nage libre : Piscine Plein Ciel à Aix-en-Provence
  • Epreuve de course (600m pour les femmes / 1000m pour les hommes) : CREPS Sud-Est à Aix en Provence

D'autre part, les épreuves de conduite de séance sportive suivie d'un entretien se dérouleront au complexe Val de l'Arc, au gymnase de l'Arc de Meyran et à la piscine Plein Ciel à Aix-en-Provence :

  • pour le concours d'ETAPS : du lundi 22 au jeudi 25 avril 2024
  • pour le concours d'ETAPS principal de 2ème classe : les lundi 29 et mardi 30 avril 2024

Pour les 2 épreuves mentionnées ci-dessus, une convocation sera déposée dans votre espace candidat sécurisé 14 jours avant la date de passage. Celle pour l'épreuve de conduite d’une séance d’activités physiques et sportives suivie d’un entretien précisera votre jour, heure et lieu de passage.

Enfin, après délibération, pour chaque concours, le jury a décidé de retenir les disciplines sportives suivantes pour l’épreuve de conduite d’une séance d’activités physiques et sportives suivie d’un entretien :

  • Pratiques individuelles et activités au service de l’hygiène et de la santé : Course
  • Pratiques duelles : Tennis
  • Jeux et sports collectifs : Handball
  • Activités de pleine nature : Vélo tout-terrain
  • Activités aquatiques : Natation sportive

[EPREUVE D'ADMISSION] Concours d'auxiliaire de puériculture de classe normale, session 2024

Le 19/02/2024

L'épreuve orale d'admission du concours sur titres d'auxiliaire de puériculture territorial de classe normale se déroulera du lundi 11 au vendredi 15 mars 2024 au CDG 13 à Aix-en-Provence.

Une convocation sera déposée dans l'espace sécurisé des candidats admis à concourir au minimum 15 jours avant le premier jour d'épreuve.

Si vous n'avez pas reçu votre convocation sur l'espace sécurisé 8 jours avant la date de début de l'épreuve, il vous appartiendra de contacter le service concours du CDG 13 au 04.42.54.40.60 du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 h 30 ou à l'adresse concours@cdg13.com.

[INSCRIPTION] Examen professionnel d'animateur principal de 2ème classe par voie d'avancement de grade, session 2024

Le 19/02/2024

Le Centre de gestion des Bouches-du-Rhône organise pour le compte de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur l'examen professionnel d'animateur principal de 2ème classe par voie d'avancement de grade, session 2024.

Les pré-inscriptions par l’intermédiaire du portail national "concours-territorial.fr" ou via le site Internet du CDG 13 sont ouvertes à compter du mardi 12 mars 2024 et jusqu’au mercredi 17 avril 2024.

Les pré-inscriptions pourront également s'effecteur au CDG 13 via la borne mise à la disposition des candidats, à l’accueil du bâtiment B durant la même période. 

Aucun dossier de candidature au format papier ne pourra être retiré, ni envoyé aux candidats qui en feraient la demande.

Pour valider leur inscription, les candidats devront impérativement signer le formulaire d’inscription dans la case indiquée et le déposer dans leur espace candidat sécurisé puis valider leur inscription en cliquant sur le bouton prévu à cet effet au plus tard le jour de clôture des pré-inscriptions soit le jeudi 25 avril 2024, 23h59, dernier délai – heure métropolitaine.

En l’absence de validation de la pré-inscription dans les délais évoqués ci-dessus, alors la pré-inscription en ligne sera annulée.

A titre exceptionnel, en cas de problème technique notamment, les candidats pourront transmettre par voie postale leur formulaire d’inscription accompagné des pièces justificatives requises au plus tard le jeudi 25 avril 2024, dernier délai, cachet de la poste indiqué sur l’enveloppe faisant foi. Le formulaire d’inscription pourra aussi être déposé dans les locaux du CDG 13 dans les mêmes délais.

[RETOUR EPREUVES] Concours d'ETAPS et ETAPS principal de 2ème classe, session 2024

Le 24/01/2024

Les épreuves écrites d'admissibilité des concours d’éducateur et d’éducateur territorial principal de 2ème classe des activités physiques et sportives ont eu lieu le mardi 23 janvier dernier.

Les statistiques concernant l'épreuve du concours d'ETAPS sont disponibles en cliquant ici.

Les statistiques concernant les épreuves du concours d'ETAPS principal de 2ème classe sont disponibles en cliquant ici.

[REGARD TERRITORIAL] Découvrez notre dernier numéro de Regard territorial qui vient de paraître

Le 05/04/2024

Alors que se prépare pour la fin du deuxième semestre 2024 la loi APR “accès, parcours rémunération” portant sur une nouvelle réforme de la fonction publique, la Fonction publique territoriale et les Centres de gestion instaurés par la loi du 26 janvier 1984 célèbrent leurs 40 ans ! 

Le dossier “Les Centres de gestion, nés un 26 janvier 1984” de ce premier numéro de Regard Territorial de l’année 2024 vous invite donc à voyager dans le temps et à travers les principales lois et réformes, qui ont retracé l’histoire des CDG. 

>>> Lire la version numérique et enrichie du magazine

>>> Télécharger le pdf du magazine

[EMPLOYEURS PUBLICS] Nouvelle plateforme de recrutement via l'immersion professionnelle, la meilleure façon de faire émerger de nouveaux talents !

Le 20/03/2024

Le saviez-vous ?

Le ministère du travail, de la santé et des solidarités, la délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle et France Travail proposent une plateforme de mise en relation tous publics* et recruteurs : https://immersion-facile.beta.gouv.fr/

Il s’agit d’une méthode innovante, sécurisée et gratuite pour recruter efficacement grâce à l’immersion professionnelle.

Le recruteur va ainsi faire découvrir sa structure et ses métiers, il va gagner en visibilité et initier une démarche de recrutement (pré sourcing). La personne accueillie va découvrir un nouveau métier ou secteur d’activité, un nouvel environnement professionnel et confirmer son projet professionnel.

Ce service public numérique a pensé à tout : il permet de compléter en ligne la convention d’immersion qui fixe les termes de la période d’immersion.

https://youtu.be/L7e3wwe9oO4?si=nZosq8J0NDK2rYwY

*Demandeurs d’emploi, salariés, bénéficiaires du RSA, bénéficiaires d’une reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé …

>> Plaquette explicative

[ARCHIVES] La gestion des archives de l’urbanisme : du papier à l’électronique

Le 07/02/2024

Le 7 décembre 2023, le service Expertise et accompagnement en archivage a animé un webinaire sur le thème : "La gestion des archives de l’urbanisme : du papier à l’électronique", qui a rencontré un vif succès.

L’objectif était de transmettre à l’ensemble des agents des services urbanisme des éléments de connaissances et de réflexion sur les enjeux de traitement et de conservation des archives produites par ces derniers, notamment dans un contexte de dématérialisation de la production documentaire.

>> Voici le support du webinaire

[INSTANCE PARITAIRE] La prochaine réunion des Commissions Administratives Paritaires placées auprès du Centre de Gestion se tiendra le MERCREDI 27 mars 2024.

Le 29/01/2024

À cet effet, nous vous remercions de bien vouloir nous faire parvenir par courrier et impérativement avant le MERCREDI 28 février 2024, les dossiers que vous souhaitez voir examiner lors de cette réunion, à savoir :

· Licenciement en cours de stage,

· Licenciement pour insuffisance professionnelle,

· Licenciement à l’expiration d’un congé de maladie (CMO, CLM, CLD) après refus du poste par l’agent (art 17 et 35 du décret n°87-602 du 30 juillet 1987),

· Licenciement de fonctionnaire en disponibilité après trois refus de postes,

· Refus d’une action de formation (syndicale, perfectionnement, préparation aux concours et examens professionnels, personnelle suivie à l’initiative de l’agent et des actions de lutte contre l’illettrisme),

· Refus de titularisation en fin de stage,

· Renouvellement de contrat d’un travailleur handicapé,

· Refus de titularisation d’un travailleur handicapé.

Dans cette perspective, vous trouverez tous les documents en téléchargement sur cette page.

[CCP] La prochaine séance de la Commission Consultative Paritaire aura lieu le mercredi 21 février 2024

Le 18/01/2024

La prochaine Commission Consultative Paritaire placée auprès du Centre de Gestion se tiendra le mercredi 21 février 2024.

A cet effet, nous vous remercions de bien vouloir nous faire parvenir par courrier et impérativement avant le mercredi 31 janvier 2024, les dossiers que vous souhaitez voir examiner lors de cette réunion.

Pour rappel, cette instance peut être saisie à l’initiative de l’employeur ou directement par l’agent selon les cas concernés.

Dans cette perspective, vous trouverez toutes les informations et documents en téléchargement sur cette page.

[CET] Le plafond du compte épargne-temps relevé de 10 jours en 2024 

Le 15/01/2024

Une circulaire de la Première ministre en date du 22 novembre 2023, avait annoncé une augmentation du plafond global de 10 jours des comptes épargne-temps (CET) dans la Fonction publique pour l’année 2024. 

En vue de la mobilisation des agents durant les Jeux olympiques 2024, le plafond du compte épargne-temps a donc été relevé de 10 jours par le décret n° 2024-15 et un arrêté du 9 janvier 2024 publiés au Journal officiel du 10 janvier 2024. 

Les agents territoriaux vont donc pouvoir accumuler en 2024 jusqu'à 70 jours de congés sur leur compte épargne-temps (CET), au lieu des 60 jours habituellement admis.  

En raison de la pandémie de Covid-19, ce plafond avait été porté à 70 jours maximum en 2020. L’arrêté du 9 janvier 2024 prévoit que pour les agents dont le nombre de jours épargnés au terme de l'année 2023 excède soixante jours, le plafond global est fixé au nombre de jours épargnés augmenté de dix jours. 

Les années suivantes, les jours ainsi épargnés excédant le plafond global de jours pourront être maintenus sur le CET ou être utilisés selon les modalités du décret n° 2004-878 (congés, indemnisation, ou encore prise en compte au sein du régime de retraite additionnelle de la fonction publique). 

La mesure va s'appliquer à l'ensemble des collectivités, même celles qui sont tenues à l'écart du déroulement et de l’organisation des Jeux olympiques.